mardi, juin 24, 2008

Quoi de neuf en Birmanie........

C'est le début de mousson en Birmanie et les paysans de la région du délta ( zone sinitrés de NARGIS) essaient pour pouvoir commencer la culture de riz.
Mais l'ennuie est que tout les sinistrés n'ont pas reçu des aides nécessaire pour démarrer la saison.Certains ont reçu des machines pour travailler dans les fermes....mais payant à crédit.
Certaines n'ont pas les machines mais les vaches et les buffles pour travailler....mais comme ces animaux ne sont pas de régions pas facile à les faire travailler où la terre n'est pas prête.
Si ces paysans ne peuvent pas cultiver cette saison...il y aura la ruputre de prodution de riz pour l'année prochaine.
Mais les Généraux n'ont aucun souci car à l'heure actuel ils ont occupé pour les changement de poste pour les Généraux. Bien évidement Than Shwe mets ses hommes de confiance dans les postes important pour que le pouvoir reste dans sa possession.

La cage pour fêter prochaine anniversaire......

mardi, juin 17, 2008

News Press

News Press
MYANMAR: Les besoins en hébergement d’urgence toujours importants
BANGKOK, 17 juin 2008 (IRIN)

- Six semaines après le passage du cyclone Nargis dans le delta de l’Ayeyarwady, au Myanmar, un grand nombre de rescapés ne bénéficient toujours pas d’un hébergement d’urgence adéquat pour les protéger des fortes averses de la mousson, et sont ainsi plus exposés au risque de contracter des maladies. Un grand nombre de rescapés ont tenté de se construire un hébergement pour se protéger des intempéries à l’aide de matériaux naturels traditionnels, tels que les feuilles de palmier, selon plusieurs travailleurs humanitaires, qui se sont déplacés à travers le delta touché.
Ces refuges improvisés, ont-ils expliqué, ne résistent toutefois pas à l’eau. « Six semaines plus tard, il y a encore des gens qui n’ont pas de toit sur la tête », a déploré John Sparrow, porte-parole de la Fédération internationale de la Croix-Rouge (FICR), qui vient de revenir du delta.
« Beaucoup de gens ont monté des refuges temporaires, mais ils restent malgré tout totalement démunis. Ils sont tenaces, et ils font tout ce qu’ils peuvent par eux-mêmes, mais cela ne suffit pas ».
À l’heure actuelle, les organisations humanitaires distribuent des bâches de protection, mais leurs efforts ont été entravés par la pénurie de matériel, aggravée par une demande en équipements d’urgence semblables pour les rescapés du tremblement de terre de Sichuan, en Chine voisine. Problèmes logistiques Les organisations sont également confrontées à des difficultés logistiques pour acheminer les bâches dans les régions touchées et les remettre entre les mains des rescapés.
La semaine dernière, selon les estimations de la FICR, seules 22 pour cent des personnes dans le besoin s’étaient vu délivrer du matériel de secours par les organisations internationales.
Dans des abris temporairesEt s’il est vrai que la distribution s’accélère désormais, le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA) estime qu’il faudrait encore 500 000 bâches supplémentaires.
Le 13 juin, selon les estimations d’OCHA, seuls 160 000 ménages avaient reçu un hébergement d’urgence, généralement sous la forme d’une bâche de plastique. Graham Eastmond, installé à Bangkok, occupe le poste de coordinateur à l’Emergency Shelter Cluster, un groupe de coordination, composé d’agences des Nations Unies et d’organisations non-gouvernementales (ONG). Selon lui, d’autres bâches arriveront bientôt sur place. Déjà, le département américain de la Défense en a commandé environ 125 000, qui seront prêtes à être distribuées dès le 19 juin, et 110 000 autres, destinées à la FICR, sont déjà en route pour le Myanmar.
La plupart des rescapés qui ont reçu ces bâches ont encore besoin de se voir délivrer des nécessaires ménagers, et notamment des moustiquaires, des couvertures et autres équipements, selon M. Eastmond.
Le cyclone Nargis (et l’onde de tempête qui l’a suivi) a fait quelque 133 000 morts et disparus, lorsqu’il s’est abattu sur le pays les 2 et 3 mai derniers, laissant environ 2,4 millions de personnes entièrement démunies. Besoin d’évaluations Les organisations humanitaires ne connaissent toujours pas le nombre exact des foyers gravement endommagés ou totalement détruits au cours de la catastrophe, mais elles sont en train de réaliser un état des lieux minutieux, qui devrait être achevé d’ici au 24 juin. Cette initiative mobilise plus de 250 représentants des agences des Nations Unies, de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (ANASE), de la Banque mondiale, de la Banque asiatique de développement, de la FICR, et de 18 ministères birmans ; dans le cadre de cette initiative, des évaluations de terrain détaillées seront menées dans les 30 communes les plus gravement touchées.
« Nous avons des difficultés, de manière générale, avec le flux d’information », a indiqué M. Eastmond à IRIN, ajoutant que l’évaluation serait fort utile pour permettre aux organisations de mieux adapter leur intervention.
Pour l’instant, d’après les estimations de l’Emergency Shelter Cluster, environ 480 000 familles de la région touchée ont perdu leur moyen d’hébergement, bien qu’il s’agisse d’une statistique préliminaire et très approximative, prévient l’organisme.
Femmes enceintes et enfants sont parmi les plus vulnérables.Des dizaines de milliers de rescapés ont quitté les campements temporaires pour retourner dans leurs villages ; selon un rapport publié le 9 juin par le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF), les conditions de vie des rapatriés sont « extrêmement déplorables » dans certains villages de Labutta, une région durement frappée par la catastrophe, où se sont rendues les équipes de terrain de l’agence onusienne, et il est urgent d’envoyer d’autres bâches sur place.
M. Sparrow a rapporté qu’il avait rencontré une femme, mère de cinq enfants, dont un nourrisson de sept mois, qui avait réussi à monter un petit refuge ouvert. Lorsqu’il lui a demandé comment elle protégeait son bébé des pluies de la mousson, celui-ci ayant déjà développé des problèmes respiratoires, la jeune mère a répondu : « je le serre plus fort ». Une autre travailleuse humanitaire a indiqué que les bénéficiaires des bâches les utilisaient essentiellement pour protéger de l’eau les structures qu’ils avaient construites eux-mêmes à partir de matériaux naturels. « Quand ils les reçoivent, ils disent "merci, maintenant, nous allons vraiment bien dormir ce soir" », a-t-elle expliqué.
Pourtant, selon M. Eastmond, alors même que la distribution des bâches s’accélère, les organisations commencent à débattre de la meilleure manière de couvrir les besoins des populations en hébergement à long terme.
Des équipes sont en train de recenser dans le détail les matériaux de construction en circulation sur les marchés locaux, et d’identifier les travailleurs qualifiés susceptibles d’aider à la construction d’habitations. « La prochaine étape sera celle du relèvement rapide, au cours de laquelle les populations recevront du matériel pour reconstruire leurs maisons. Nous devrions tenter de déterminer la meilleure façon de le faire, ce qu’un kit standard d’aide devrait contenir, en ayant pour objectif de produire un refuge adapté pour une famille. Il y a beaucoup à faire », a-t-il estimé.

jeudi, juin 12, 2008

Depuis le 6 juin, la police confisque les antennes satellites pour que les Birmans ne puissent plus accéder à l’information des médias étrangers.
Et le 8, la presse officielle a publié des articles dénigrant les médias étrangers. Plusieurs reporters ont été expulsés et il est impossible d’obtenir des visas de presse.“Nous demandons la libération immédiate de Zarganar. Cette arrestation est emblématique du mépris que la junte militaire éprouve vis-à-vis de ceux qui s’expriment librement.
Zarganar est un homme très connu dans le pays. A travers ses sketches et le blog qu’il tient depuis août 2007, il défend les droits de l’homme et dénonce le comportement de la junte au pouvoir. Il était devenu une véritable source d’informations“, ont déclaré les organisations.
La veille de son arrestation, le blogueur et artiste birman Zarganar a accordé une interview à une télévision étrangère. Il y condamnait l’attitude des autorités et évoquait l’équipe de 400 personnes qu’il avait réussi à mobiliser pour aider les victimes du cyclone malgré l’interdiction du gouvernement. Cette équipe travaillait en coopération avec une autre, fondée par un moine bouddhiste.Les autorités avaient affirmé à la famille de Zarganar qu’elles ne le retiendraient “que deux jours“, le temps de le soumettre à un interrogatoire.
“Beaucoup de journalistes sont empêchés de travailler librement et les médias étrangers font l’objet d’attaques dans la presse officielle, qui cherche à les discréditer. Les activistes constituent un relais d’informations essentiel à travers leurs témoignages sur Internet. Nous dénonçons l’attitude des autorités qui enferment sciemment les citoyens du delta de l’Irrawaddy dans le silence“, ont poursuivi les organisations.
Au cours des dernières semaines, plusieurs reporters étrangers, notamment de CNN et Time, ont été expulsés. D’autres se sont vu refuser un visa.Le 8 juin, le journal officiel Light of Myanmar a qualifié les radios étrangères d’“ennemis“. Les lecteurs pouvaient y lire ces lignes : “Le cyclone est passé. Malgré tout, l’ennemi a montré une face encore plus destructrice que Nargis. Il est temps que les radios étrangères et leurs complices apprennent que leurs instigations et leur propagande étaient inutiles. Ils devraient arrêter de rapporter des informations si formatées“ (voir le message sur le site de Reporters sans frontières).
D’après la presse en exil, la police confisque également les antennes satellites qui permettent aux citoyens de capter les chaînes étrangères. Une cinquantaine d’antennes satellites auraient été confisquées le 6 juin dans un magasin de Rangoon.
Par ailleurs, le bureau de la censure a interdit la publication des photos concernant le cyclone dans les numéros de certains journaux locaux mais également la diffusion du magazin Times des 26 mai et 2 juin, qui traitaient le sujet. (RSF)
Birmanie/cyclone: accès total pour les experts de l'Asean aux zones touchées

SINGAPOUR
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Des experts de l'Association des nations d'Asie du Sud-Est (Asean) et des Nations unies vont avoir un accès total aux zones touchées par le cyclone Nargis en Birmanie, a annoncé jeudi le secrétaire général de l'Asean.
"Nous avons maintenant une équipe de plus de 250 personnes chargées d'évaluer l'après-Nargis, dans le Delta (...) Ils vont faire une évaluation globale et auront un accès total à la région touchée", a déclaré Surin Pitsuwan.
Une équipe de deux cents spécialistes de l'humanitaire mandatés par l'Association des nations d'Asie du Sud-Est (Asean) et l'ONU a commencé à se déployer la semaine dernière dans la région birmane du delta de l'Irrawaddy ravagée par le cyclone Nargis.
Cette équipe d'évaluation des besoins d'aide doit rendre ses conclusions mi-juillet.
Une première équipe, transportée par des hélicoptères du Programme alimentaire mondial (PAM) de l'ONU, va rendre un premier rapport sur la situation à l'occasion d'une recontre de l'Asean à Rangoun le 24 juin, a précisé le secrétaire général.
Le cyclone Nargis, qui s'est abattu les 2 et 3 mai sur la Birmanie, a fait officiellement plus de 133.600 morts ou disparus et 2,4 millions de sinistrés.
La moitié des habitants du delta de l'Irrawaddy n'ont toujours pas reçu d'aide internationale un mois après le passage du cyclone Nargis sur cette région du sud-ouest de la Birmanie, a déclaré mardi à Genève une porte-parole des Nations unies.
La junte birmane a déclaré mercredi avoir accordé plus de 900 visas à des étrangers après le cyclone Nargis, dans le but apparent de désamorcer les critiques selon lesquelles elle n'a pas fait assez, en liaison avec la communauté internationale, pour aider les rescapés.
Après trois semaines de blocages, le gouvernement des généraux avait assoupli sa position sur les mouvements des humanitaires étrangers, à la faveur d'une visite du secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon.
Les Nations unies ont déclaré que leurs employés obtenaient désormais davantage de visas mais des ONG signalent encore des problèmes et des restrictions dans l'accès au delta de l'Irrawaddy, la région la plus affectée par la catastrophe.
(©AFP / 12 juin 2008 07h10)
Je suis tellement étouffée par les sentiments que je n'arrive pas à m'exprimer pendant un certaines moment.
Maintenant je prends mon souffle, et voilà je m'exprime.......
Il y a de quoi à parler.
Avant je ne savais pas à quel pointe que la junte a de la chance.....maintenant la preuve.
Les donations, les aides humanitaires sera pour les généraux mais pas pour les sinitrés.
Dernièrment le ministre Soe thar a déclaré pendant une presse conférence que....tout les aides devaient passer par les ministères....accompagné des fonctionnaires.
Les donateurs privée , et individuel ont été empéché par tout les moyens sous peines de prisons pour que les aides n'arrivent pas aux sinistrés.
Alors Notre sécretaire générale Mr. Ban Ki Moon.....qu'allez vous faire????